• La côte de Vendée et de Charente-Maritime se caractérise par la présence de très nombreux marais littoraux, d’immenses vasières et, d’une manière générale, d’une forte interpénétration des milieux doux et des milieux saumâtres, paradis de milliers d’oiseaux migrateurs ; son histoire est ainsi très fortement liée au commerce du sel, mais également aux guerres successives qui l’ont écrite : la mer des Pertuis charentais, en particulier, abrite un patrimoine de fortifications militaires très riche, résumé de quatre siècle de conflits et de tentatives de conquête.


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  • Les côtes les plus occidentales de France sont aussi celles d’où l’on partit découvrir le Canada et d’autres terres plus exotiques encore. On y pêche et on y fête la coquille Saint-Jacques comme il se doit, on ramasse et on cultive les ressources du plus grand champ d’algues d’Europe, tandis qu’au large, le rail d’Ouessant voit passer un incessant trafic de pétroliers - dont certains, hélas, ont laissé de terribles souvenirs aux Finistériens - que surveillent Phares et Balises. Port militaire, Brest n’accueille pas que des sous-marins, mais rassemble en juillet, tous les quatre ans, les plus beaux gréements d’hier et d’aujourd’hui…


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  • Caps impressionnants (pointes de Pen-Hir, de Crozon, du Van, du Raz), baies immenses (Douarnenez, Audierne, Quiberon), anses gracieuses (Suscinio), et même une « petite mer » intérieure - ce golfe du Morbihan si fameux -, ce sont là les principaux atouts de cette Bretagne méridionale où « il fait bon vivre », ce royaume de la voile et de la course au large, mais aussi première façade halieutique française, avec des ports de tout premier rang comme Le Guilvinec, Lorient, Concarneau, Douarnenez…
    La culture bretonne y trouve de multiples occasions de s’y exprimer, dans toute sa diversité. Pour le bonheur des touristes, et des habitants…L’estuaire de la Loire, passé Saint-Nazaire, marque la fin des terres armoricaines.


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  • Des envahisseurs vikings à qui la région doit tant, en passant par Guillaume le Conquérant parti de Dives-sur-Mer pour « gagner » l’Angleterre, jusqu’à l’opération « Overlord » du 6 juin 1944 qui libéra la France occupée, les côtes de Basse-Normandie dissimulent, sous leur aspect hautement touristique, mais bien souvent encore sauvage, de lourdes blessures… « Un des pays que j’aime le mieux » en disait néanmoins Marcel Proust, habitué de Trouville et réfugié à Cabourg. Mais de l’architecture balnéaire de la côte Fleurie aux promontoires du Cotentin, jusqu’aux paysages surréalistes qu’offre le Mont-Saint-Michel, la diversité est au rendez-vous.


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  • C’est actuellement la mer la plus fréquentée du monde, reliant l’océan Atlantique aux grands bassins industriels et urbains de l’Europe du nord-ouest, le bassin de Paris, les Flandres, le bassin de Londres, les Pays-Bas, l’Allemagne du nord et les Etats scandinaves... Les côtes de la Manche et de la mer du Nord sont très marquées par l’ancienneté de leurs traditions maritimes et par la proximité de Paris. L’estuaire de la Seine, entre Rouen et Le Havre, est l’axe privilégié de ces échanges multiples. Sur les côtes principalement basses ou calcaires, les hommes ont toujours lutté pour repousser la mer…


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