• A comme amour: Dans une famille, qui a choisi d'adopter, il faut 160 000 F. pour un enfant du Brésil. Le père tique un peu. La mère le motive. Ils en ont déjà adopté 4, ce qui fait 40 millions. La mère attend une petite fille depuis trois ans. Le père fait du scoutisme. Cette femme évoque sa vie de couple. Ils sont croyants. A comme adoption: La même famille se prépare pour aller adopter. Ils se rendent à l'aéroport et arrivent au Brésil. Le père est resté en France. L'adoption a été acceptée par le juge. Cette petite fille a besoin d'un suivi psychologique. Ils rencontrent la petite fille. Emotions. A comme apocalypse: Le père vient les attendre à l'aéroport, au retour. La mère revient avec deux filles. L'une Astrid est là parce que personne ne voulait l'adopter . Mais la mère lui accepte qu'elle ne peut l'accepter pour l'instant. Astrid aurait été entraînée dans une secte. Astrid préfère retourner au Brésil dans la rue. La mère demande à Astrid de faire les démarches pour revenir en France si elle le désire. L'un des garçons s'est attaché à elle. La mère lui explique qu'elle est sa soeur. Plus rien ne semble aller dans la maison. Astrid repart. Mais elle reviendra deux mois plus tard

     


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  • CHASSONS L’OCCUPANT !
    Les Français : ils ont fini par récupérer l’Alsace et la Lorraine, mais en ce qui concerne la Savoie, rien n’est acquis... et la négociation s’annonce âpre !Les pétards bretons sont un peu mouillés, les Basques mettent moins le feu aux poudres, les Corses font toujours la bombe (est-ce acquis, est-ce inné ?). Mais nos hommes politiques ont-ils bien conscience qu’une bombe à retardement d’une autre ampleur menace la République : la prise de conscience des Savoyards les plus lucides - les Savoisiens d’une réalité qui n’est pas politique mais juridique : la Savoie a droit à son indépendance. Mickey, Loulou, Olivier et une poignée d’autres se disent Savoisiens. Au sein de leur organisation aux allures de groupuscule, la Confédération savoisienne, ils ont entrepris de redonner à leur pays millénaire sa liberté. Et ils affichent leur devise sur leurs T-shirts : "libre ou mourrir" . Avec deux " r" à mourir. Comme pour montrer qu’ils ne sont pas pressés d’en finir...Et si la France pense que la Savoie lui appartient, cíest bien simple : qu’elle présente son titre de propriété


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  • Plus il y a de pêcheurs, moins il y a de poissons. Mais moins il y a de poissons, plus il faut pêcher. Alors qui disparaîtra en premier, les poissons ou les pêcheurs ? En septembre 2006, Palma de Majorque accueillait le congrès Méditerranée sur la pêche maritime. Mourad Kahoul, président du syndicat des pêcheurs de thon rouge de Méditerranée, y défendait les intérêts de son corps de métier. Les pêcheurs sont en effet de plus en plus régulièrement montrés du doigt. On leur reproche la surpêche d'espèces menacées, comme le thon rouge, dont le renouvellement des générations n'est plus assuré. Trois mois auparavant, des pêcheurs marseillais mécontents s'en étaient pris au Rainbow Warrior, le navire étendard de l'association écologiste Greenpeace.


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  • A quoi reconnaît-on un vrai producteur de cinéma ? Au fait qu’il fixe ses rendez-vous au bar du Lutétia, bien sûr. Mais Ludovic ne se contente pas de ça : non content d’être le plus jeune producteur de France (25 ans aux prunes), de rouler dans de grosses voitures et de faire son marché à Cannes, il est aussi le plus ambitieux. On vous épargne les chiffres, mais on peut vous dire que ce n’est pas le genre de petit film amateur que nous refilerait Luc Besson... Et ce n’est pas tout : de ce film dont Ludovic est le producteur qui est le réalisateur ? Ludovic, bien sûr. Et qui la vedette principale ? Toujours Ludovic, pardi... Ludovic ne doute de rien, et son père est tout aussi confiant. En fin de compte, il n’y en a qu’un a être un peu sceptique : c’est le grand-père.


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  • Lorsqu’en 1961, Piero Manzoni déféqua dans des boîtes de conserve puis les scella, il ne se doutait sans doute pas que près de 50 ans plus tard, chacune de ces boîtes vaudrait près de 25000 Euros...
    C’est que si l’art n’existe pas sans les artistes, il fait vivre, au moins autant qu’eux, des tas de marchands d’art, de galeristes, de spéculateurs de tout poil.
    Pierre Huber n’est pas le moindre d’entre eux : installé à Genève, faisant son marché à Pékin, vendant une partie de sa collection à New-York, se reposant dans son chalet valaisan, il est un des grands marchands d’art mais est resté très simple. D’ailleurs, quand il reçoit, c’est lui qui se met aux fourneaux. Normal, il est le roi de la petite saucisse grillée...


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