Les coulisses du Vatican

Il est plus difficile de faire entrer un diable dans un bénitier qu'une caméra dans un Saint-Siège. Qu'à cela ne tienne: Strip-Tease est reçu, en exclusivité, au Vatican...

Duel ado contre adult

Qui est de plus mauvaise foi: les parents ou les ados ? Voila le film qui mettra tout le monde d'accord: celui qui est de plus mauvaise foi, c'est l'autre. Débat musclé garanti...

Un amour de bronze.

Il n’y a pas que le téléphone qui pleure...

En mars 88, il y aura dix ans déjà que Cloclo nous aura quitté. Mais son souvenir se perpétue et jamais nous ne l’oublierons. Une famille bruxelloise a pris en mains la destinée posthume de Claude François et commandé une superbe statue de l’idole. Regrets et émotion : à pleurer.

Patient un jour, patient toujours

Comment, petite Madame vous avez peur de passer sur le billard... Allons allons, c'est juste un peu de plomberie. Et les bistouris viennent du Bazar de l'Hôtel de Ville...

 

 

 

 

"Diplômé en jeux"
A 23 ans, Johan, s'il se montre pour le moins énergique, consacre la majeure partie de son temps libre à participer en réseau à un jeu de guerre. Ainsi, toutes les nuits, le jeune homme s'installe devant son ordinateur jusqu'à 2 ou 3 heures du matin, au grand dam de sa mère.

"Rock'n'trolls"
Luc et Agnès vivent en Bretagne avec leurs sept enfants. Ni l'un ni l'autre n'exerce d'activité professionnelle. Si Agnès est enchantée de pouvoir assurer l'éducation de ses enfants, dont les quatre plus jeunes sont scolarisés à la maison, Luc, de son côté, fait partie d'un groupe de rock dont il est le batteur. En compagnie de son fils Valentin, 11 ans, Luc participe à un stage pour coopérer avec les lutins, nymphes et autres trolls.

 

Pauvre Johan, harcelé par sa mère, lâché par son psy, qui refuse de lui faire un mot d’excuses alors que c’est quand même pas de sa faute s’il est obligé de sécher les cours.

Qui dit que la jeunesse actuelle n’a plus ni énergie ni passion ? Voyez Johan : ce n’est pas un de ces jeunes apathiques que rien n’intéresse : tous les soirs, jusqu’à 2 ou 3 heures du matin, il est devant son ordinateur, attentif, réactif, enthousiaste.
Bon, il passe ses nuits à jouer en réseau à un jeu de guerre (crac, boum, zwiiii, tacatacatac).
D’accord ce n’est pas idéal pour arriver à réussir son lycée.
Mais après tout, il n’a que 23 ans, et on ne voit vraiment pas pourquoi sa mère s’énerve : il prévoit de quitter la maison à 25.
Réalisation : Didier Verbeek

 

CODE ET CORAN

Une juriste, jeune, jolie et ambitieuse, d’origine arabe, ça ne vous dit rien ? Allez, on vous aide : elle rêve d’avoir un enfant. Vous ne voyez pas ? Elle s’intéresse aussi à la politique, plutôt côté Sarkozy. Vous y êtes ...

Rachida Dati ? Ah non, ça c’est le modèle !
La nôtre, en plus, elle veut se marier. Et avec un musulman.
Le trouvera-t-elle ? Si Amèle semble emprunter les pas professionnels de Rachida Dati, elle ne veut pas, en revanche, rester célibataire… Quand elle ne foule pas les marches du palais et les pavés des marchés parisiens pour distribuer les tracts de l’UMP, cette piquante trentenaire n’a qu’un seul but : se trouver un mari… plutôt musulman et surtout bac + 5 ! Un parcours de militante qui sait où elle va...
Réalisation : Emmanuelle Machtou

LA SALLE A MALEK

« Ils ne nous invitent pas à la chaufferie. Pour eux, ce sont les hommes à la salle, les femmes à la cuisine ! Eh bien pour nous, c’est pareil, on ne veut pas d’hommes ! 

Objet de discorde, la chaufferie Mermoz de Lyon suscite bien des convoitises auprès des associations locales du 8e arrondissement. Mise à disposition par la mairie, cette salle est, depuis sept ans, investie sans partage par les hommes retraités du quartier issus de l’immigration. Une appropriation arbitraire qui ne peut plus durer pour les membres de l’association de femmes d’origine maghrébine. Bien décidées à obtenir leur droit d’accès à la salle, elles ont saisi l’adjointe au maire aux affaires sociales pour arbitrer leur délicate négociation avec les hommes, qui vire à la guerre des sexes...
Réalisation : Anne-Marie Avouac.

 

BELLES, BELLES, BELLES

À la télé, il n’y en a jamais que pour la racaille de banlieue, défavorisée, brimée puis excusée...Mais qui se préoccupe des beaux quartiers ?

Vous croyez que c’est facile, à dix-huit ans, de s’extraire du milieu qui vous a façonné ? Vous pensez que c’est simple d’oublier le tennis, le poker, les cigares, et par dessus tout, le fric et les filles ? Mais il y a un moment où les plus forts prennent leur envol et coupent le cordon ombilical : les parents c’est bien, mais à distance. Et puis, dix huit ans c’est aussi l’âge des engagements audacieux et solidaires : la caravane estivale des jeunes UMP, par exemple...

Réalisé par Emmanuelle Machtou